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Google Chrome : Avez vous essayé le nouveau navigateur internet de Google ?
Même si le marché reste dominé par les logiciels Internet Explorer de Microsoft (67% de p.d.m), Mozilla Firefox (28,10%) et Apple Safari (2,88%), Google Chrome arrive directement en quatrième position avec 1,01% du trafic, ce qui le place devant un spécialiste historique du segment, Opera, qui ne capte pour sa part que 0,49% de l'audience du web hexagonal. Selon Xiti, Google Chrome progresse essentiellement aux dépends d'Internet Explorer (-0,21%) mais surtout de Firefox, qui affiche un recul de 0,75% au cours de cette journée du 3 septembre. « Il ne faut bien sûr pas tirer de conclusion hâtive sur les résultats de cette première journée qui peuvent notamment être le reflet de comportements spécifiques. On peut par exemple supposer qu'une partie des utilisateurs Mozilla sont peut-être plus ouverts aux changements et nouveautés que les utilisateurs Internet Explorer : ils seraient ainsi proportionnellement plus nombreux à « tester » rapidement Google Chrome ce qui ne veut pas dire qu'ils vont l'adopter définitivement… » nuancent les auteurs de l'étude. Un succès qui reste donc à confirmer pour Google Chrome mais qui témoigne en tout cas de la légitimité de ce géant des services en ligne dans l'univers des logiciels internet.

Lancé la semaine dernière, ­Chrome marque l'arrivée de ­Google sur le terrain des logiciels de navigation, face à Internet Explorer, Firefox, Opera et Safari. Séduisant mais perfectible.

- Aspect. Chrome surprend par son aspect très sobre : seules les icônes de navigation et d'options apparaissent de part et d'autre de la barre d'adresses. Laquelle ­barre sert également à saisir une recherche, comme c'est le cas dans Google. Au fur et à mesure qu'on tape un mot clé, une liste propose les liens associés. Généreux, le navigateur permet d'utiliser d'autres moteurs de recherche que Google, comme Yahoo !, Voila, MSN, AOL, Orange, etc. Pour faciliter son adoption, ­Chrome importe automatiquement les favoris stockés dans Firefox à son premier lancement.

- Stabilité. Chrome sait ouvrir plusieurs pages dans des onglets. Comme dans Safari, on peut détacher un onglet d'une fenêtre pour le rattacher à une autre. L'originalité, c'est que chacun possède sa barre de navigation et est géré indépendamment : en cas de blocage d'une page, il suffit de fermer l'onglet responsable au lieu de relancer le navigateur. En prime, un gestionnaire de tâches permet d'identifier et d'interrompre les opérations qui monopolisent l'ordinateur.

- Rapidité et sécurité. Très rapide, Chrome accélère le téléchargement et l'affichage des pages. Comme Firefox, il met l'accent sur la sécurité, en proposant notamment une protection contre le phishing (ou hameçonnage) et contre les virus. Le logiciel permet même, en activant la « navigation privée », de surfer sans laisser de trace sur l'ordinateur. Les recherches ne sont alors pas mémorisées, les pages consultées n'apparaissentt pas dans l'historique et les cookies sont effacés une fois que l'utilisateur sort de ce mode de navigation.

- Utilisation. On s'habitue rapidement à l'originalité de l'inter­face, et on apprécie qu'à l'ouverture d'un nouvel onglet, des vignettes fassent accéder directement aux sites les plus visités et une liste permet de retrouver les pages récemment fermées. Chrome est particulièrement habile à gérer des applications en ligne : tableur, traitement de texte, agenda, etc. Quand on arrive sur la page d'une d'entre elles, Chrome affiche une fenêtre spécifique sans barre d'adresses ni barre d'outils, de manière à simuler un logiciel autonome.

- Points faibles. Pour l'instant, Chrome n'est disponible qu'en préversion et uniquement pour Windows. Il offre peu d'options de personnalisation : impossible de lui ajouter des extensions comme Firefox, et la gestion des favoris se réduit au minimum. Enfin, les fonctions de certaines pages Web ne sont pas toujours prises en compte par le logiciel. Certains sites peuvent même être illisibles…

Une version mieux aboutie sera la bienvenue.


Cadres photos numériques : explosion du marché des cadres photos numériques
Une étude de Futuresource Consulting prétend que le marché des cadres photo numériques a explosé en Europe de l’ouest l’an passé, atteignant 3,8 millions d’unités, à comparer aux 0,6 million de l’année d’avant. Pour le client, “le design et le prix” ont été les éléments les plus importants dans leur décision d’achat, peu nombreux étant ceux qui ont la moindre idée de la résolution, du format ou de la taille d’écran de leur achat. Les gadgets sont apparemment populaires. Probablement parce qu’ils semblent être une bonne idée de cadeau à placer dans un intérieur qui n’est pas le votre. Au jour où la calotte polaire se réduit à peau de chagrin, on ne peut que se demander quel sera l’impact de ces gadgets électroniques sur l’environnement. Le responsable de l’étude pour Futuresource, Andy Watson, dit qu’ils ont “prêté attention à la consommation d’énergie des écrans plats, mais aucune recherche spécifique n’a été conduite sur la consommation des cadres photo numériques.” On ne saura donc rien de ce côté-ci. Futuresource dit que d’ici 2011, la pénétration dans les foyers atteindra 14% en Europe de l’ouest, le Royaume-Uni et la France en tête avec 29% et 23% de pénétration respectivement. Ce qui devrait avoir un sacré impact sur l’environnement comparé aux photos délavées qui traînent sur vos murs.


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